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Check_mk check for generic OID

A while ago, I wrote a simple check_mk check to monitor a single SNMP OID. I can simply be customized to quickly monitor any value, with alert levels and perfdata. Here it is :

#!/usr/bin/python
# -*- encoding: utf-8; py-indent-offset: 4 -*-

# Cyril - 28/01/2014
# Check_snmp_template for a single OID, for example .1.3.6.1.2.1.4.5.0
# How to customize :
# Break the OID in 2 parts, for instance ".1.3.6.1.2.1.4.5" and "0". Adapt baseoid and suboid.
# Adjust crit and warn values
# Replace "snmp_oid_test1" in all strings and function names
# Remplace "valeur" with a description

# OID to check
baseoid = ".1.3.6.1.4.1.6486.800.1.2.1.16.1.1.1.13"
suboid = "0"
# Warn if above this value
warn = 70
# Critical if above this value
crit = 90
# OID description (for example: CPU Utilization)
valeur = "Valeur"

def inventory_snmp_oid_test1(info):
    if len(info) > 0:
        return [ (None, (warn, crit) ) ]

def check_snmp_oid_test1(item, _no_params, info):
   value = int(info[0][0])
   perfdata = [ ("valeur", value, warn, crit) ]
   if value > crit:
           return (2, "Valeur: %i" % value, perfdata)
   elif value > warn:
           return (1, "Valeur: %i" % value, perfdata)
   else:
           return (0, "Valeur: %i" % value, perfdata)

check_info["snmp_oid_test1"] = {
        "check_function"        : check_snmp_oid_test1,
        "service_description"   : "Alcatel Switch CPU",
        "snmp_info"             : ( baseoid, [ suboid ] ),
        "has_perfdata"          : True,
        "inventory_function"    : inventory_snmp_oid_test1,
        }

# Quick and dirty scan function, testing against sysObjectID would be more efficient
snmp_scan_functions["snmp_oid_test1"] = \
        lambda oid: oid( baseoid + "." + suboid ) != None

Download it here : check_mk_generic_snmp_oid

Dell Storage Compellent SC plugin for check_mk

I wrote a check_mk check for Dell « Compellent » Storage Arrays.

It was developped for the SC4020 model, and works also for SCv2000/SCv2020 (thanks Emmanuel) and SC7020. It should work with other models (SC5020, SC8000, SC9000).

The following items can be monitored:

  • Global status, as reported by the system
  • Controllers status
  • I/O modules status
  • Disk status
  • Hardware sensors status
  • Temperatures (with performance data)
  • Power supplies status
  • Volume status
  • Servers status

sc4020_check_mk

Download from Check-MK Exchange

Have fun !

Update 27/06/2017 : Since SCOS 7.x, temperature values are not correctly reported through SNMP. This caused a crash of the temperature checks.This is a known bug which will be addressed with SCOS 7.2.10. Meanwhile, I’ll release version 1.1, containing workarounds to avoid crashes.

Agent check_mk pour Freebox Server

MAJ 08/06/2014 : Enfin packagé sous forme de fichier MKP

MAJ 25/08/2014 : Nouvelle version 1.2 : Correction d’un bug si pas de freeplug (merci à Sylvain Lemoine). Correction bug sur état des interfaces réseau.

MAJ 06/04/2015: Version 1.4 : Correction d’un bug si un le nom d’un périphérique connecté en wifi comporte un accent (merci encore Sylvain !). Meilleure remontée des traces même en mode debug.

MAJ 24/03/2016 : Version 1.5 : Meilleure gestion d’une erreur rencontrée avec une freebox neuve.

MAJ 04/11/2016 : Version 1.6 : Meilleure gestion d’une erreur rencontrée quand le dernier Freeplug est déconnecté.

MAJ 18/02/2018 : Version 1.8 : Le calcul d’uptime générait parfois des erreurs, il est désormais basé sur uptime_val, qui a été créé à ma demande.

MAJ 18/11/2020 : Version 2.1 : Passage sur l’APIv2 du wifi pour éviter une erreur sur une freebox neuve, et correction de la détection de l’état de l’interface ethernet des boitiers CPL tiers.

MAJ 25/08/2023 : Version 2.3.0 : Support des connexions de type FTTH (validé avec boitier ONU uniquement, statistiques limitées)

Le serveur de la Freebox Révolution (v6) n’est pas accessible via SNMP, ce qui rend les possibilités de supervisions bien ternes, alors que ce boitier gère en réalité de nombreuses opérations.
Courant 2013 l’API REST a été mise à jour, elle permet d’interroger de nombreux compteurs concernant la freebox.

Voici un script python qui fait office d’agent pour la solution de supervision check_mk. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est du Nagios sans les inconvénients de Nagios, les parties les plus rébarbatives étant remplacées par des scripts et une interface web efficaces.

Cet agent permet l’inventaire, la supervision et la création de graphiques pour les éléments suivants:

  • Freeplugs et autres équipements CPL
  • Température des processeurs, du switch et du disque
  • Vitesse du ventilateur
  • Activation du wifi
  • Connexion et force du signal des stations wifi
  • Espace libre des partitions
  • Statistiques sur les 4 interfaces du switch (état, trafic, vitesse)
  • Etat de la connexion ADSL (et probablement VDSL) et FTTH
  • Erreurs ADSL
  • Uptime

Je pense avoir intégré tout ce qui était possible.
Cependant:

  • C’est mon premier essai en python, le code n’est pas des plus sexys
  • La gestion des erreurs sur les ports de switchs n’est pas complète

Pour l’installer, suivre la procédure suivante:

  • Installer le module « python request » (sur Debian: apt-get install python-requests)
  • Télécharger le fichier MKP sur Check MK Exchange
  • Se logger avec l’utilisateur exécutant nagios (ou l’instance d’OMD)
  • L’installer avec la commande « cmk -P install freebox-v6-2.3.0.mkp »
  • Repérer l’emplacement du script installé avec la commande « cmk -P list freebox-v6 »
  • Lancer le script avec l’option « -a » pour lancer la procédure d’authentification sur la freebox
  • Autoriser l’application sur l’afficheur LCD du freebox server
  • Ouvrir ensuite une session sur l’interface web du freebox server, aller dans « Paramètres / Gestion des accès / Applications » et donner le droit « Modification des réglages de la freebox » à l’application
  • Relancer manuellement le script, sans option, et vérifer que la sortie ait l’air correcte. Pour (beaucoup) plus de détails, ajouter l’option -v
  • Via WATO, ajouter un hôte Freebox avec l’IP LAN de la Freebox
  • Toujours via WATO, ajouter une règle de type « Datasource Programs / Individual program call instead of agent » pour l’hôte correspondant à la freebox
  • Indiquer le chemin complet du script, sans paramètre supplémentaire
  • Appliquer la configuration de WATO
  • Lancer un inventaire des services via WATO, sélectionner les services désirés et appliquer la configuration
  • Et hop :

nagios_freebox

Notez aussi que:

  • L’IP LAN de la Freebox n’est pas utilisée par le script (mais mafreebox.freebox.fr), mais Nagios pingera cette adresse pour vérifier l’état de l’hôte
  • Il est possible d’utiliser l’option -v pour avoir une sortie (très) détaillée ce qui se passe
  • Il est possible d’utiliser l’option -d pour logger cette sortie détaillée dans /tmp/check_mk_agent_freebox_revolution.log

Pour les curieux, cet agent utilise si possible le format standard de l’agent check_mk linux, et sinon des checks locaux.
Si vous préférez cacti, voir http://glr81.free.fr/blog/index.php?2013(..)

Reste à faire

S’il reste encore des gens motivés dans la salle, il reste à :

  • Créer des templates pnp4nagios, notamment pour l’ADSL
  • Gérer correctement les erreurs sur interfaces du switch (écrire un vrai plugin check_mk ?)
  • Compléter le package mkp, avec une page man, des perf-o-meter et tout et tout

Télécharger

Disponible sur Check_MK Exchange

Backup Exec plugin for check_mk

This check_mk plugin queries Backup Exec database to find job history, and returns the state of the last job execution.

It has been tested with Backup Exec 2010 and 2012, and should work with previous versions from 9.0 to 12.5. Backup Exec 2010 is required (see below)

checks

It has been tested on Windows 2008 R2, and should work on Windows 2012, and maybe Windows 2003 if powershell is installed.
Contrary to many Backup Exec plugins for Nagios, it is not a compiled executable but a simple powershell script, and doesn’t parse xml history files and so runs very fast.
It tries to connect on the local MSSQL instance named BEDB, which is the default configuration. In most cases, no configuration is needed, just copy backupexec_job.ps1 into check_mk « plugins » subdirectory.

The following performance data is returned to create graphs: Job size, duration, rate and deduplication ratio.

graph_backup_rate

graph_backup_time

Download from Check-MK Exchange

16/07/2014 : Version 1.1 – Added support for job status 9 (missed)

28/07/2014 : Version 1.2 – Added WATO plugin to treat jobs ‘completed with exceptions’ as OK

29/07/2014 : Version 1.3 – Added support for job status 21 (canceled, timed out)

02/04/2015 : For Backup Exec 12.5, you need to use backupexec_9-12.5_job on your windows server (thanks Guillermo).

25/06/2015 : Version 1.4 – Fixed error « “Check parameter definition for backupexec_job has type Dictionary, but match_type None” » with check_mk 1.2.7i (thanks Jörg !). Version 1.4 doesn’t work anymore with 1.2.6 or previous versions. Use backupexec_job-1.3 instead.

02/09/2015 : Version 1.5 – Fixed compatibility with both check_mk<=1.2.6 and check.mk>=1.2.5 (thanks Peter & François)

07/10/2015 : Version 1.6 – Fixed « ERROR: Skipping invalid manpage: backupexec_job (Catalog info missing) » in 1.2.7i3 (thanks to Daniel Müller)

Decodeur Altitude Meteotime 323

Hideki est un constructeur de station météos en marque blanche.
La station Hideki DV323 se retrouve vendue sous différentes marques, notamment:

Cette station possède une sonde thermomètre/hygromètre communiquant via RF433.
Mon objectif était de capter et décoder ce signal pour le traiter sur un PC.
Il existe de nombreux projets Arduino allant dans ce sens, semblables à celui-ci.
Le protocole Hideki est connu et décodé, mais ce n’est manifestement pas celui utilisé par la station Meteotime.

Je me suis donc fortement inspiré de cette page afin de décoder le signal.

Une capture via la carte son m’a permis d’identifier un signal « propre » :

meteotime-signal-1

et, en zoomant, d’identifier les caractéristiques du signal :

meteotime-signal-2

soit une période d’environ 1220 µs.
Parfait : J’avais 64 bits utilisables.
Je suis donc parti du principe qu’un 0 était plus longtemps « en haut » qu’un 1 :

0: |---|_  : 839 µs - 362 µs
1: |-|___  : 362 µs - 839 µs

Afin de faciliter le travail, j’ai écrit un bout de code Arduino qui, avec le montage de PracticalArduino, a permis d’effectuer différents relevés.

J’ai ainsi pu identifier les bits significatifs :

                                       |> >> | >>>  |>>>        |> >> | >>>
                                       dd dd t ttt  TTTT        hh hh H HHH
       0123 4567 8901 2345 6789 0123 4567 8901 2345 6789 0123 4567 8901 2345 6789 0123
       0           1            2           3            4           5            6

Où:

  • dddd : valeur décimale de la température
  • tttt : température (unités)
  • TTTT : température (dizaines)
  • hhhh : hygrométrie (unités)
  • HHHH : hygrométrie (dizaines)

Exemple :

       0000_0000 0000_0001 1000_1000 0101_0010 1001_0100 1011_1111 0011_0101 1000_1000 22.2°C 53%

Les autres bits sont toujours identiques, on y retrouve probablement l’identifiant de l’émetteur et du bourrage.
Il me reste à identifier le bit pour les températures négatives, on verra cet hiver 😉

Mise à jour 27/07/2014 : Mon émetteur a rendu l’âme il y a bien longtemps, je n’ai jamais finalisé le code.
Le voici donc en l’état :
Code Arduino Meteotime RF

Il est fonctionnel, le montage est un récepteur RF433 Arduino classique

Arduino remote upload

This is how I upload sketches from my computer (windows 7) to an arduino uno board attached to a remote linux host (Debian 7).

On the linux host:

  • Install usbip package
  • Load kernel modules usbip_host and usbip_core
  • As root, launch usbipd (use -d for debugging)
  • Find your arduino board with lsusb :

Bus 007 Device 001: ID 1d6b:0001 Linux Foundation 1.1 root hub
Bus 008 Device 001: ID 1d6b:0001 Linux Foundation 1.1 root hub
Bus 009 Device 001: ID 1d6b:0001 Linux Foundation 1.1 root hub
Bus 006 Device 002: ID 046d:c313 Logitech, Inc. Internet 350 Keyboard
Bus 007 Device 004: ID 2341:0043 Arduino SA Uno R3 (CDC ACM)

  • Export the usb bus (arduino device is 7-4, so the bus is 7-1)

usbip bind -b 7-1

On Windows:

usbip -a archipel 7-1

  • Let windows install the drivers
  • Use Device Manager to find the COM port corresponding to « Arduino UNO »
  • Select the correct COM port in Arduino IDE
  • Enjoy !

A propos

Ce site a pour vocation de partager des informations concernant essentiellement les logiciels libres, dont je suis un fervent utilisateur.

Me contacter: cyril@pawelko.net

Télécharger mon CV complet

CV express

1998-2004 : Cap Gemini division Exploitation (Sogeti) – Nantes

Technicien systèmes et réseaux

2004-2014 : Pygram – Nantes

Administrateur systèmes et réseaux

  • Windows Server 2000/2003/2008
  • Exchange 2000/2003/2007/2010
  • ISA Server 2000/2004
  • SQL Server 2000/2005/2008
  • Linux (certifications LPI niveau 1 et 2)
  • Administration Apache, Squid, MySQL, etc…
  • Asterisk
  • Routeurs Zyxel Zywall
  • Virtualisation (VMWare, kvm, proxmox)
  • Stockage (Dell, HP, EMC)
  • Supervision (Nagios, cacti, check_mk, etc…)

Directeur technique

  • Gestion pôle infrastructures systèmes et réseaux (10 personnes)
  • Gestion R&D

http://www.pygram.com/services/solutions(..)

Conférence RMLL 2009 à Nantes: Retour d’expérience sur Asterisk

2014-> : DSMI – Nantes

Consultant avant-vente infrastructures

  • Audit infrastructures
  • Conseil, avant-vente et architecture sur les technologies suivantes:
    • Stockage Dell, EMC
    • VMware vSphere, View, ThinApp
    • Riverbed Steelhead
    • Dell Networking, Cisco, Aerohive
    • Nutanix
    • Veeam
    • Microsoft Windows, Exchange, Office 365

Certifications principales

  • Microsoft Certified Professional Windows 2000 Pro, Windows 2000 Server (2001)
  • Zyxel Certified Network Engineer (de 2004 – 2012)
  • Linux Professional Institute LPI niveaux 1 et 2 (2008)
  • Riverbed Certified Solutions Associate – WAN Optimization (2014)
  • VMware VTSP 2015
  • Veeam Technical Sales 2015
  • Nutanix Platform Professional NPP4 (2015)
  • Cisco 700-505 – SMB Specialization for Account Managers (2016)
  • Dell PS Series Storage Professional Exam DSDPS-200 ProDeploy (2016)
  • Dell SC Series Storage Professional Exam DSDSC-200 ProDeploy (2016)
  • Aerohive Technical Sales Associate ATSA, Aerohive Technical Sales Professional ATSP (2016)
  • EMC EMC SE Portfolio Competency 2016
  • Fortinet NSE1, NSE2, NSE3 (2016)
  • Microsoft MCSA Office 365 (70-346, 70-347; 2016)
  • Dell EMC Specialist – Technology Architect, Backup Recovery Solutions Version 7.0

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Divers

1997 : Rédaction de 3 articles pour le virus informatique

2007 : Participation à la création du site http://www.sebastienchampion.fr/

Bluetooth mouse with Doudoulinux

I installed Doudoulinux on my MSI Wind U100’s hard drive for my daughter,

First, I followed this excellent tutorial which tells how to install a basic Debian Squeeze on my hard drive, and install doudoulinux on top of it.

To enable the bluetooth mouse, I followed these steps:

  • Enable bluetooth 😉
  • Install blueman
  • Open a desktop session (« Tout Doudoulinux » in french)
  • Go to settings and open Bluetooth Manager
  • Connect your bluetooth mouse

Et voilà, it’s now enabled at boot for all sessions.

Booting Seatools ISO via pxe

I need to run Seagate diagnostics utility (Seatools), but my computer has no cd reader, no floppy drive, and my disk is so defective that grub won’t boot.

But it has a NIC that supports PXE.

Thanks to http://reboot.pro/8258/ and http://www.isalo.org/wiki.debian-fr/inde(..) I’m able to run these tools via network.

Enter the BIOS, enable network boot.

Boot, write down the mac address.

On another computer (currently a debian squeeze), install a dhcp, pxe, a tftp server and gpxelinux (see the second link above, in french).

Download « Seatools for DOS », it’s an iso image. Rename it to seatools.iso and save it in /srv/tftp

Edit /srv/tftp/pxelinux.cfg/default and create an entry like:

label 1
 MENU LABEL Seatools
 kernel memdisk
 append iso
 initrd /seatools.iso

And voilà ! You can now boot this iso image via pxe.

Tuning zfs-fuse sur Debian Squeeze

Je souhaite conserver plein de copies de sauvegarde de machines virtuelles tournant sur mon hyperviseur étant un kvm/libvirt/archipel sur une squeeze.
Il y a un candidat idéal pour cela: zfs, qui pour des raisons de licence n’a pas d’implémentation native dans linux.
Pour commencer, j’ai fait quelques tests avec zfs-fuse (0.6.9-1), sans tuning particulier. Ca marche correctement, mais pas très vite (moins de 10 Mo/s).
J’ai ensuite utilisé le zfs natif. Les performances brutes étaient bien meilleures mais ça tirait énormément sur la RAM et tout finissait par devenir très lent, et la sauvegarde d’une des VM ne se terminait jamais. En essayant de tuner la taille du ARC cache, je n’ai réussi qu’à obtenir un plantage complet du noyau (le dmesg parlait de lui même).

Je suis donc retourné à zfs-fuse en attendant de trouver mieux.
Maintenant que j’ai une rotation des VM sur une semaine, je peux avoir une idée précise des ressources requises par la déduplication:

#  zpool status -D zpool
 pool: zpool
state: ONLINE
scrub: none requested
config:

       NAME                               STATE     READ WRITE CKSUM
       zpool                              ONLINE       0     0     0
         disk/by-id/dm-name-archipel-zfs  ONLINE       0     0     0

errors: No known data errors

DDT entries 282985, size 354 on disk, 222 in core

bucket              allocated                       referenced
      __
refcnt   blocks   LSIZE   PSIZE   DSIZE   blocks   LSIZE   PSIZE   DSIZE
------   ------   -----   -----   -----   ------   -----   -----   -----
    1    49,6K   6,20G   2,25G   2,25G    49,6K   6,20G   2,25G   2,25G
    2    11,1K   1,39G    583M    583M    27,6K   3,45G   1,42G   1,42G
    4     171K   21,4G   12,6G   12,6G    1,13M    145G   85,5G   85,5G
    8    43,7K   5,46G   3,11G   3,11G     358K   44,7G   25,4G   25,4G
   16      741   92,6M   59,3M   59,3M    13,5K   1,69G   1,04G   1,04G
   32      129   16,1M   8,19M   8,19M    4,67K    598M    298M    298M
   64        3    384K   67,5K   67,5K      330   41,2M   7,78M   7,78M
  128        1    128K   4,50K   4,50K      133   16,6M    598K    598K
   1K        1    128K   4,50K   4,50K    1,27K    162M   5,71M   5,71M
   2K        1    128K      7K      7K    3,98K    509M   27,8M   27,8M
  16K        1    128K   7,50K   7,50K    23,7K   2,96G    178M    178M
Total     276K   34,5G   18,6G   18,6G    1,60M    205G    116G    116G

Je vois ici que j’ai 282985 entrées pour la déduplication, chaque entrée occupant 222 octets en RAM.
J’en déduis donc que mon cache pour la dédup est d’environ 60 Mo (ce qui est peu !).
Par défaut ZFS alloue un quart de la taille du cache ARC pour le cache des metadata, donc fait partie la table DDT.
Le cache ARC doit donc être au moins de 240 Mo.
Par défaut, la valeur sur ma Debian était de 100 Mo.
Cela apparait au démarrage de fuse:

# grep -i zfs /var/log/syslog
Nov 28 21:12:39 archipel zfs-fuse: ARC caching: maximum ARC size: 100 MiB
Nov 28 21:12:39 archipel zfs-fuse: ARC setup: min ARC size set to 16777216 bytes
Nov 28 21:12:39 archipel zfs-fuse: ARC setup: max ARC size set to 104857600 bytes

J’ai donc modifié la ligne « max-arc-size = 240 » dans le fichier /etc/zfs/zfsrc et relancé zfs-fuse

#invoke-rc.d zfs-fuse restart

A titre d’exemple, le temps de sauvegarde de ma VM zimbra est passé de 16 minutes à 6 minutes !
En réglant le cache à 500 Mo, je descends à 3 minutes pour la même sauvegarde. Ce qui correspond à peu près aux temps que j’obtenais avec les modules zfs natifs, mais qui eux provoquaient de nombreux plantages, alors qu’avec zfs-fuse j’ai une solution parfaitement stable. Un réglage du cache à 1 Go n’a pas donné de meilleurs résultats.

Conclusion : Voici la formule appliquée dans mon cas avec zfs-fuse : max-arc-size = Taille du cache DDT * 8